1717 :
« L a Loire plus basse de 14 pouces ; il passa au dessous des ruines du pont de Blois des charrettes chargées de six pièces de vin, fort aisément à gué, ce qui donna lieu de travailler plus aisément à bastir le nouveau pont de Blois à 25 toises au dessus du vieux pont ruiné ».
1719 :
» La rivière de Loire fut si basse à blois, qu’on ne l’avait encore jamais vue; on passait à gué partout, comme aussi les charrettes chargées ».
1719 :
» La Loire, comme carcasse sans eaux, à ne pouvoir porté les plus petits bateaux ».
R. Porcher (publié est annoté par), Blois 1893, Journal de Noël Janvier (1693-1726.
Merci de nous donner le plaisir de lire ces précieux récits.