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Le livre d’Estienne Sallé – Voiturier par eau et charpentier en bateaux au temps de Louis XIV
Le témoignage exceptionnel d’un marinier de Loire
Estienne Sallé raconte les souvenirs les plus marquants de sa vie. Il nous instruit de son métier, de ce qui se passe sur le fleuve, il fait la chronique de sa ville, Orléans. On perçoit la force de sa foi, on partage ses fiertés et ses indignations. Il nous fait vivre les grandes calamités de l’époque.
Un manuscrit rare remis dans le contexte historique par Françoise de Person et enrichi par une belle iconographie couleur.
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Les graffiti de bateaux de Chambord
Une invitation à la navigation
Les bateaux de Loire, de mer, ou imaginaires, ont investi le château de Chambord de façon clandestine. Ces graffiti racontent la Loire, l’acheminement par eau des pierres pour la construction du château, les rêves de leurs auteurs.
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Bateliers sur la Loire
La vie à bord des chalands
Les bateliers racontent leur vie au lecteur : les gestes du métier, le bateau, leur art de naviguer sur un fleuve capricieux au gré du vent, au péril des échouages et des naufrages. Leur souci est aussi le transport, le soin à la marchandise qui doit arriver intacte au marchand. Les bateaux pleins de sel, de vin, de bois, de sucre, leurs « voyages » les mènent de Nantes à Roanne, le long du Cher, de l’Allier, la Vienne, et jusqu’à Paris par les canaux.
Les bateliers vous invitent à « entrer en bateau » et à partager leur vie à bord. -
Bateliers Contrebandiers du sel
La Loire au temps de la gabelle.
La surveillance tatillonne des gabelous n’a d’égal que les stratagèmes des bateliers pour passer le sel illicite. Un véritable jeu du chat et de la souris sur lequel plane la menace de sanctions sévères, amendes et peines des galères. Le livre retrace les petits délits comme la grosse contrebande, celle des mariniers chargés du transport des sels pour l’approvisionnement des greniers depuis Nantes jusqu’en amont. Des récits mouvementés qui font écho aux trafics actuels.
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Un Orléanais à la conduite de son négoce
sur la Loire, par mer et par terre.
Louis Colas Desfrancs écuyerLouis Colas Desfrancs est un de ces grands négociants orléanais du XVIIIe siècle, d’envergure nationale, qui commercent avec Marseille, Nantes, Paris, Lyon… Sa correspondance, telle une biographie, nous livre sa stratégie en matière d’achats, de prix, d’itinéraires, de transports. On suit la traçabilité des produits, de ses fournisseurs à ses clients. En dépit de la lenteur et de l’irrégularité des transports, de l’absence de moyens de conservation, de contenants qui suintent (ses produits phares sont les huiles et les eaux-de-vie), son organisation est efficace.
Articles
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L’épave de Langeais à travers les archives
La découverte d’une épave à Langeais et l’existence dans les archives du procès-verbal du naufrage, daté de 1795, et d’autres documents, ont permis de reconstituer l’événement. Il s’agit d’un transport militaire de boulets, de caissons d’infanterie et d’avant-trains pour la République.
Épaves et naufrages en Loire. Archéologie en eaux douces (XIVe-XIXe siècle), sous la direction de Virginie Serna, FERACF, 2020
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La spécificité des naufrages en Loire (XIVe-XIXe siècle)
“Naufrage” est un terme maritime. Il évoque la mer, la tempête, les bris sur les rochers. Tapez le mot sur votre ordinateur, apparaîtra une longue liste de relations de naufrages, mais aucun naufrage en rivière. L’évènement semble insolite. Pourtant il était courant sur la Loire. Mais que recouvre-t-il ?
Épaves et naufrages en Loire. Archéologie en eaux douces (XIVe-XIXe siècle), sous la direction de Virginie Serna, FERACF, 2020
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Les voituriers par eau, le temps et l’argent, avant la Révolution
Les voituriers par eau sont des gens pressés. Plus ils effectuent de voitures, mieux ils gagnent leur vie et celle de leur famille. Ce sont de libres entrepreneurs. Libres sur l’eau, ils dépendent étroitement des marchands qui leur procurent le fret. Ces derniers se montrent au cours du temps de plus en plus exigeants en matière de sûreté et de rapidité.303 HORS-SÉRIE N°75 La Loire
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Les pêcheurs et les voituriers par eau faux-sauniers
La Loire est une barrière naturelle difficile à franchir pour les faux-sauniers, à col ou à cheval. Barrière renforcée par la Ferme qui y a déployé de nombreuses brigades sédentaires et ambulantes. Les ponts et les bacs sont systématiquement filtrés. Le faux-saunage par bateau proprement dit est le fait de spécialistes, pêcheurs ou mariniers.Histoire et Patrimoine au Pays d’Ancenis. ARRA 1999 n°14
Les pêcheurs et les voituriers par eau deux types de faux-saunage sur la Loire, pp. 80-87
Avec l’autorisation de l’Association de recherches sur la région d’Ancenis (ARRA)Consultation gratuite
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Les négociants orléanais …
Les Orléanais n’ont pas la renommée d’être de grands navigateurs ni des capitaines négriers, et pourtant, ils se sont intéressés activement au commerce avec les Antilles. La première raison logique de cet intérêt était d’aller quérir aux Antilles le sucre de canne, matière première de leur activité de raffinage. Dès 1653, une première raffinerie de sucre est créée à Orléans par Georges Vandebergue, originaire d’Anvers.
Cahiers des Anneaux de la Mémoire, Nantes 2015 n°16 La Loire et le commerce atlantique XVIIe-XIXe siècle, pp. 139-153
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Le Déchargeoir de la Bouillie …
Le déchargeoir de la Bouillie est le précurseur des déversoirs modernes construits après les crues catastrophiques du XIXe siècle. Il existe depuis le XVIe siècle. En dirigeant le trop plein d’eau vers le Cosson, cet ouvrage a permis d’épargner, à de multiples reprises, le faubourg de Vienne à Blois des inondations. Son histoire est exemplaire, et utile à la gestion actuelle des crues.
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